Selon l’agence onusienne basée à Genève, les personnes incarcérées sont 7,2 fois plus susceptibles de vivre avec le VIH que les adultes dans la population générale. L’ONUSIDA rapporte que la prévalence du VIH parmi les personnes incarcérées a augmenté de 13% depuis 2017, atteignant 4,3% en 2021.